Ce métier tient tellement aux relations que l’on établit avec les gens, un mot peut tout gâcher et toutes les alvéoles se referment. Ici encore, pas de système, sinon se faire oublier ainsi que l’appareil qui est toujours trop voyant.
(Henri Cartier-Bresson, “L’instant décisif”, dans “L’imaginaire d’après nature”, p.22. Fata Morgana, 1996)
Maintenant que j’ai lu ça, je n’aurai plus aucune honte à expliquer que je dissimule le pourtant si joli X100S sous une couche de gaffer noir…, pour essayer de passer inaperçu en rue.
😉
Pingback: Quelques faiblesses du X100(S/T), pour la photo de rue. Et des solutions | davidbosman.fr