A New Blog

I created a brand new blog. This one will remain online for archival purpose, but it won’t be updated anymore.

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See you there 😉

Utiliser un mode sombre sans macOS Mojave

Une astuce toute bĂȘte, que j’utilise depuis des annĂ©es pour rapidement disposer d’un mode sombre sous macOS : inverser les couleurs.

Attention: si ça marche trĂšs bien pour tout ce qui concerne le texte (lire comme Ă©crire), ça ne donnera rien de bien pour regarder des photos ou des vidĂ©o, vu que toutes les couleurs sont… inversĂ©es.

Pour inverser les couleurs, allez dans les Préférences SystÚme -> Accessibilité, onglet Affichage et cochez Inverser les couleurs.

Pour simplifier la procĂ©dure, on pourra activer le raccourci clavier dĂ©diĂ© (Ctrl+Alt+Cmd+8) qui permet d’alterner entre les deux modes. LĂ  encore, ça se passe dans les PrĂ©fĂ©rences systĂšme -> Clavier, onglet Raccourcis. Choisissez AccessibilitĂ© et activez Inverser les couleurs. Rien ne vous empĂȘche de dĂ©finir un autre raccourci clavier, en double-cliquant sur celui par dĂ©faut.

Si ce n’Ă©tait pas dĂ©jĂ  assez clair: je rappelle que ce mode n’a rien Ă  voir avec le mode sombre annoncĂ© dans macOS Mojave, et que c’est moche/inutilisable/quasi-hallucinogĂšne pour visionner les photos et les vidĂ©os. Par contre, c’est vraiment reposant pour Ă©crire comme pour lire sur le Mac… et c’est disponible sur toutes les versions de macOS/OS X, depuis des annĂ©es.

C’est tout moi, ça : sortir le blog de son sommeil de belle au bois dormant non pas sous l’effet du tendre baiser d’un prince charmant qui serait passĂ© dans le coin, mais pour partager une vieille astuce qui ne servira probablement Ă  personne et Ă  plus rien du tout dans peu de temps 😉

Ulysses passe Ă  l’abonnement

Ulysses passe Ă  l’abonnement.

Pour rappel, un abonnement :

  • Ce n’est pas du racket : personne n’est obligĂ© de s’abonner. Il y a d’autres apps… mĂȘme complĂštement gratuites. Les autres apps sont moins bien que Ulysses ? Voyez le dernier point de cette courte liste.
  • Ce n’est pas du racket-bis : contrairement aux bĂȘtises qu’on peut lire dans certaines rĂ©actions, nos textes ne sont pas “enfermĂ©s dans Ulysses” ni pris “en otages par les devs de Ulysses” : sans parler du fait que, sous le capot, les fichiers restent du TXT tout e qu’il y a de plus standard, l’app elle-mĂȘme, mĂȘme sans payer l’abonnement, permettra toujours d’exporter le contenu dans un tas de formats diffĂ©rents en un click ou deux.
  • Les clients de la version payante classique se voient, provisoirement, proposer une remise Ă  vie sur le prix de l’abonnement annuel. La remise n’est pas Ă©norme ? Non (mais rien ne les obligeaient Ă  en proposer une). Perso, je dirais que c’est pas assez pour me pousser Ă  m’abonner sans attendre…
  • Comme Ă  chaque fois qu’une app passe Ă  l’abonnement, la question se ramĂšne Ă  savoir si on a rĂ©ellement besoin de cette app, ou pas. Et combien on a les moyens d’y mettre.

Pour le reste, c’est toujours la mĂȘme dĂ©prime de lire les rĂ©actions outrĂ©es et haineuses de certain(e)s. Quant Ă  moi, je vais tranquillement attendre–la version actuelle ne s’Ă©tant pas arrĂȘtĂ©e de fonctionner d’un coup de baguette magique, il n’y a pas d’urgence Ă  sauter sur l’abonnement. Ca me permettra de :

  • Voir ce que les devs de Ulysses vont annoncer comme nouveautĂ©s.
  • Voir, surtout, comment ma façon d’Ă©crire va continuer d’Ă©voluer depuis l’arrivĂ©e du Chromebook dans ma boitĂ© Ă  outils, et la place qu’y aura Ulysses : ne pas pouvoir utiliser la mĂȘme app sur le Chromebook que sur l’iPad ou le Mac commence Ă  me peser… or, je n’ai aucune envie de renoncer au Chromebook.

C’est d’ailleurs une des raisons qui m’avait persuadĂ© de m’abonner Ă  Day One, alors que rien ne m’y obligeait bĂ©nĂ©ficiant dĂ©jĂ  de tous les avantages offerts avec l’abonnement : la promesse d’une version Web et Android (aka, compatible Chromebook). J’aimerais tant lire la mĂȘme annonce de la part des Soulmen–en fait, si je l’avais lue, je m’y serais dĂ©jĂ  abonnĂ©.

 

 

L’enfer, made in Japan

Je n’avais jamais envisagĂ© l’idĂ©e de finir Ă©crabouillĂ© sous un rouleau Ă  pĂątisserie avant d’ĂȘtre dĂ©coupĂ© en nouilles…

These concepts of hell (jigoku; 朰獄 in Japanese) are derived from ancient Buddhist scriptures, and I’m ceaselessly amazed by the imagination of the monks and artists who came up with so many different forms of punishment. The range from the fairly standard – being eaten alive by demons and dragons, or being torn apart at the crotch – to the more inventive – being forced to hold large stalks of daikon radish in your mouth and being used as a drumstick. Then, there’s my favorite: being flattened out by a roller and then cut up into soba noodles.

Exploring Japanese Hell Through Art from the 12th to 19th Century, via… je sais plus qui, mais merci.

Le bouquin dont sont tirĂ©es ces illustrations (y en a d’autres Ă  voir, si vous suivez le lien) est disponible en prĂ©commande Ă  67 €. C’est assez tentant… Ou alors je me force Ă  acheter et lire tel ou tel des bouquins publiĂ©s par nos politicien(ne)s ?… Mmmm… On a les enfers qu’on peut, mais je ne suis pas maso Ă  ce point: ce sera donc l’enfer japonais.