Traduire, un travail solitaire ? Certainement pas pour moi. C’est un travail solidaire. (…) Cet oeil qui ne connaît pas la langue turque est pour moi un bol d’air et me permet de questionner certains choix de traduction (pas toujours bons) et de me pousser à chercher encore plus, encore plus loin.
(@Ayserin : Les coulisses de meydan : évaluer, réfléchir, avancer.)