Plus précisément, il a pris possession de ma mâchoire.
Vous voyez, j’ai commencé la lecture d’un texte sur les vertus du bâillement (oui, j’ai des lectures passionnantes) et, depuis que j’ai lu le mot “bâillement” pour la première fois, je ne cesse de bâiller (encore à l’instant, même l’écrire provoque une réaction!) à m’en décrocher la mâchoire (rebelotte). Vous imaginez ce que ça donne dans un texte où le mot-que-je-n’ose-plus-écrire revient au moins à chaque paragraphe.
Promis, si je fais d’autres observations aussi capitales, je vous tiens au courant

Non, je ne suis pas qu’un animal qui réagit à des stimuli… Mais je vous laisse ! J’entends une clochette au loin, faut que je mange 😎