C’est un peu tout ça, ce désir de bifurcation dont on sait bien que temps en temps régulièrement il vous emporte, que régulièrement il vous met dans la mouise (mais là on y serait déjà) et qu’en même temps c’est bien à ça qu’on doit le meilleur.
À lire, François Bon : de l’irrésistible désir de bifurcation.