Obsolescence (dé)programmée

l’obsolescence programmée des produits, maintes fois décriée ci et là, se résumé chez nous au transfert du matériel entre membres de la tribu…

Merci @urbanbike pour cette remarque et ce geste si pleins de bon sens.

2012 semble avoir été l’année de “l’obsolescence programmée” ou plutôt celle de sa critique par les consommateurs soucieux de sauver la planète et de paresseusement désigner un coupable dans la méchante industrie — responsable de tous nos maux — et tout particulièrement dans cette odieuse Apple qui nous incite tant à consommer, quand la seule vraie chose à faire c’était de se demander : et moi, je fais quoi ?

Bref, rien ne change : je ne suis qu’un râleur incapable d’apprécier la prise de conscience de ses concitoyens, et je ne suis qu’un autre, de con — qui s’imagine que les vilains sont toujours facilement reconnaissables, et qu’ils sont toujours un autre, comme dans ces contes de fées.

conte

Pour rebondir sur le billet de Robert Falck à propos de l’iPhone 3G S, à l’origine de tout ça, et démontrer que je peux faire autre chose que râler : comme lui, je reste persuadé que sa forme n’est pas loin d’être idéale pour une bonne prise en main — même si j’apprécie le plus grand écran Retina de l’iPhone 5.

Et il me semble aussi évident que sa coque est bien plus résistante que celle des modèles plus récents. Mon iPhone 5 a eu sa première rayure dans la demi-journée suivant son achat — la première d’une déjà trop longue série : son biseau en aluminium étant peut-être superbe, mais bien trop fragile.

Zut. J’ai encore râlé.

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