Tu m’en diras tant, iTunes. J’en reste sans voix.
Et je suppose que, pour savoir pourquoi mon fichier (un ALAC sans DRM tout ce qu’il y a de plus honnête mais acheté ailleurs que sur iTunes) n’est pas “admissible” dans iTunes Match, il ne me reste plus qu’à faire la danse de la pluie ?
iTunes Match ne me comptera pas longtemps parmi ses clients s’il commence à me casser les pieds — le lecteur attentif, ne pourra s’empêcher de marquer un temps d’arrêt pour apprécier le choix tout en délicatesse de l’auteur d’utiliser le mot “pieds” plutôt que le mot “couilles” — sur le format ou je ne sais quoi de mes fichiers. Surtout s’il ne daigne pas me fournir un minimum d’informations.

Je me fais un peu l’effet d’être un gros barbu chauve — le premier qui ricane en disant “c’est pas faux”, me copiera cent fois le texte intégral de la Hadopi, en binaire — à qui le videur à l’entrée d’une boîte de nuit, aussi borné qu’il est large, refuserait l’entrée sous prétexte que sa calvitie n’est pas à la mode.
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