(Markdown is) aimed at a sweet spot, between making it easy to use real HTML when you need it, and letting you just write plain text for anything where it’s sensible and obvious to do so.
John Gruber.
En français :
(Markdown) vise un juste milieu entre faciliter le recours au HTML quand vous en avez besoin, et vous permettre d’écrire du texte tout simple partout où il va de soi de le faire.
Markdown, c’est ça. Et c’est le pied.
En ce qui me concerne — c’est-à-dire en ce qui concerne l’écriture de ce blog, mais pas seulement — je peux dire qu’il y a eut un avant et un après (ma rencontre avec) Markdown, qui a tout simplifié.
Ainsi, même si j’utilise encore quelques balises HTML spécifiques dans mes billets, je peux tout simplement les insérer dans mes fichiers Markdown sans me compliquer la vie, et sans nuire à la lisibilité du fichier qui, pour le reste, est écrit en clair, sans aucune balise qui vient compliquer sa (re)lecture avant publication. Ce n’est pas un détail, au contraire c’est le principe même de Markdown : garder le fichier “source” le plus lisible possible, pour pouvoir le lire et le relire sans difficulté.
Ça marche pour les billets du blog, qui sont ensuite facilement convertibles en HTML, ou qui sont même publiables tels quels dans WordPress avec le plugin adéquat, mais aussi pour bien d’autres usages. Avec le parser (convertisseur) adéquat (pandoc, en ce qui me concerne), on peut facilement convertir un fichier rédigé en Markdown en à peu près n’importe quoi d’autre : HTML, PDF, RTF, ODT, Latex, etc. (y compris en ePub).
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