Ce n’est pas que devoir supporter le bruit de la ville, la circulation automobile ou la télé du voisin du dessus. C’est aussi entendre et partager des moments.
Comme cet air de mozart qui me parvient d’un immeuble voisin, par je ne sais laquelle des fenêtres ouvertes. Pourquoi, je n’en sais rien — j’imagine que c’est une jeune femme aux longs cheveux noir noués en une tresse qui écoute cet air; on verrait ses yeux verts si elle n’avait pas fermé ses paupières pour mieux entendre la musique.
Si je n’étais pas fidèle, il ne manquerait pas grand chose — un thé au jasmin aimablement partagé, un sourire — pour que je tombe amoureux, ce soir.