Ce que nous avons provisoirement nommé Print On Demand, c’est qu’enfin la pensée numérique joignait l’écriture, la compo, la fab, la distribution et l’interactivité lecteur.
Ceci n’est que le plus petit sommet d’un sacré iceberg — à lire et à réfléchir — sur le travail d’(un) auteur et d’un traducteur qui est aussi devenu son propre éditeur : François Bon, le Print on Demand est mort (et imprimé).