Porter des sacs de rats morts

Une ville c’est un poison. Un poison qui est aussi un médicament par moment. Mais Paris n’a pas de posologie raisonnable : la plus petite dose est une trop forte dose. Cela nous rend fort, conquérant, mais pour quoi faire ? pour construire quoi ? Nous nous perdons. Je ne veux plus étouffer la douceur, la tendresse. C’est là qu’est la vraie force, dans la timidité de nos manières, et l’inflexibilité de nos cœurs.

Pit Agarmen : porter des sacs de rats morts

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