Minimalisme ou maximale austérité ?

Le minimalisme est un sujet à la mode, tout spécialement dans notre petite communauté d’utilisateurs de Mac. Mais pas seulement.

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(clic = grand) Emacs, démarré dans un tty (un terminal en mode texte, sans images, sans souris, sans fenêtre, ni rien), sous GNU/Linux.

Où s’arrête le minimalisme et où commence l’austérité ? Peut-être là où on l’on passe du “juste assez de” à “se priver de” ? Chacun fixant la limite.

Certes, c’est sensiblement moins beauc’est affreusement plus moche que mon cher Byword (ou que nvALT) sur Mac OS X, mais je peux écrire en Markdown si ça me chante, afficher un aperçu du résultat (et bien d’autres choses : c’est Emacs), et ça à l’avantage d’être disponible sur n’importe quel PC équipé de GNU/Linux, donc même sur de très vieilles machines qui ne peuvent plus rien faire tourner de récent, ou sur des configurations très modestes, sans ralentissement, pour un coût nul.

Bien entendu, je peux toujours revenir à une interface graphique classique, d’un simple raccourci clavier.