Remet-lui un coup de batte dans la tête, il bouge encore!

Y a des jours comme ça, où rien ne va. Parfois, de tels jours se suivent… sans fin.

Après presque quatre semaines de galère et de travail acharné, alors qu’on pensait en être sorti depuis hier et qu’on s’était surpris à sourire et même à plaisanter, on est sauvagement rappelé à la réalité: les merdes, c’est pas terminé. A croire que chaque numéro s’est promis de nous causer plus de souci que le précédent. En plus de ça, un de nos sites Web est tombé en panne le jour du lancement du magazine (en Espagne) et personne ne semble comprendre ce qui se passe, ni pouvoir le faire marcher (vaudou ?).

Pourtant, le pire ce n’est pas tant ces problèmes: ils sont pénibles et on est très énervés, mais un problème implique obligatoirement une solution; on va régler tout ça. Non, le pire c’est le temps perdu, du temps volé à tout le travail à venir. Ca, c’est terrible.

Y a des jours comme ça, où je me dis que j’aurais du suivre ma pente naturelle et devenir fleuriste. Les fleurs, ça tombe pas en panne, les fleurs ça pousse pas en retard, les fleurs ça n’a pas de “problèmes de marges décalées”. Les fleurs ça n’a pas d’humeur (quoi que…). Et puis c’est tellement beau, les fleurs.

Je dis ça, mais si tout marchait bien. Si tout marchait comme prévu et dans les délais… ce serait d’un monotone 😉

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