David,Rafa vient de m’informer que l’original du manuel est bon. Il passe à l’impression.
Sentiment de libération ?
Pas vraiment.
Comme chaque fois que je termine la rédaction d’un manuel, c’est la déprime. Après autant d’efforts et de stress, tout semble terne, nul.
Je tourne en rond sans savoir où aller, quoi faire — pourtant le boulot ne manque pas.
D’abord, il y a la fatigue d’une belle course contre la montre (surtout cette fois : moins de 4 semaines pour faire le manuel ! Des journées de 12h et plus). Mais il y a surtout le stress d’être passé de l’autre côté de la deadline, ne plus pouvoir travailler le manuscrit qui est terminé et loin de moi.
Tous ces défauts que je vais y trouver… Quelle horreur. “Ne jamais relire un manuscrit qui est sous presse“, disait un ami.
J’aime ce que je fais 😉