Developing a Mindset for Successful Learning

My niece having started college this year, I was somewhat surprised to see how poorly students were prepared for this in school, with close to nothing on essential questions such as:

  • How to read books and highlight meaningful passage, 
  • Effective note taking during a lecture. 
  • How to study those notes, aka how to get a personal understanding of the notions studied more than memorising them. 
  • How to avoid overconfidence, or the lack of. 
  • How to organise one’s learning time, using short-and long-term goals. 
  • How to focus (avoid distractions).
  • How to test one’s comprehension.
  • And, at least as important as all the others: how to deal with failure. Learning to take it for what it is–a direct and sometime painful feedback on the way one has learned–but nothing more.

It was no better when I was a student myself, some 25-30 years ago. But one’d have thought things were better nowadays, with the ever growing importance of qualification, and all the studies being made on, well, studying and being a student.


Recently, I stumbled on Dr. Stephen Chew’s “How to Study” series of videos to help students “develop a proper mindset to become an effective learner” which is the academic way of saying “to help students getting good at it, without working themselves to death and even, why not, enjoying it.

The fourth video, “Putting the Principles for Optimizing Learning into Practice”, as its title suggests, is the most practical of the series. 

Some of them are covering basic stuff, while other, Dr. Stephen Chew being a professor of psychology, are dealing with more psychological matter, and not all questions are covered. But they’re all worth watching as they’ll give any student sound foundations, even if one is to follow only some of the advice given—plus, they’re short videos: there’s no excuse to skip any 😉

How to Study Video Series, Stephen Chew, Ph.D.

3 Replies to “Developing a Mindset for Successful Learning”

  1. Très intéressant. L’investissement complet dans la mise en œuvre de ces principes est couteuse mais assurément rentable sur le long-terme. Coupler une application de Flashcard pour “générer des questions” sur ce que l’on lit et apprend ainsi qu’une mind-map pour lier les concepts entre eux et en garder une vision d’ensemble me parait être une bonne stratégie. Encore faut-il disposer de la motivation et de la concentration nécessaires, évidemment… !

    En cela, la question des outils est d’une importance capitale : quels sont ceux vraiment capables de s’effacer pour offrir un environnement sans friction ? J’ai envie de dire, cf. les réflexions sur votre ancien blog. 🙂

    1. L’investissement complet dans la mise en œuvre de ces principes est couteuse mais assurément rentable sur le long-terme

      Pour ce qui est de l’investissement, il peut se faire de façon progressive: pas besoin d’appliquer toutes le méthodes d’un coup, ni de bouleverser sa façon de faire. Se concentrer sur, disons, un ou deux des aspects les plus faibles dans notre façon de faire actuelle, les corriger, cela apportera déjà un énorme gain. Par exemple apprendre à gérer son emploi du temps quand on est du genre à ne pas trop se soucier de ça (toute impression que je parle d’un expérience personnelle serait… fondée).

      En cela, la question des outils est d’une importance capitale

      Oui, clairement. Et non, aussi 🙂

      Oui, et de ce point de vue c’est dommage de voir à quel point s’intéresser aux outils de travail reste dévalorisé ou facultatif pour beaucoup de personnes.

      Non, quand ça devient une quête en soi: tester des outils pour tester des outils. J’ai envie de dire quand c’est devenu un hobby, sans autre but pratique. Ici, le but est d’étudier plus efficacement, pas de trouver coûte que coûte le meilleur outil ou la meilleure façon de procéder. Mais bien de trouver un compromis le plus rentable en terme d’efficacité et de coût, qui sera différent d’un étudiant à l’autre, pour atteindre le but fixé: comprendre la matière étudiée et réussir l’examen.

      C’est clair que le sujet est passionnant et mériterait d’être développé.

      1. Surtout à notre époque, surtout avec un environnement Apple, je suis bien d’accord que le risque inhérent aux outils consiste à se perdre dans des tests comparatifs infinis entre différents workflows à base d’import-exports abusifs tous les trois mois, quand bien même l’on s’était imaginé conserver l’équilibre précédent pour 10 ans (là encore, gros vécu).

        Et pourtant, un nouvel outil peut stimuler le processus créatif ou productif, au moins pour un temps. Même dans le travail scolaire, passer d’un outil à l’autre, tester d’autre méthodes aide parfois à débloquer des engrenages rouillés. Toute ressemblance avec un comportement de drogué…

        C’est pourquoi il est peut-être plus efficace d’être un étudiant rustique. La question de l’outil devient capitale une fois qu’on a eu le malheur de s’y intéresser de près… Comment organiser ses notes ? Comment classer ses lectures ? Quels sont les outils vraiment relationnels ? Scapple, Liquidtext, et Tinderbox sont-ils vraiment d’une aide capitale ?

        Trop de questions simplement pour un cours à apprendre… 🙂

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