Pardonnez-moi

Pardonnez-moi parce que j’ai péché, ô Dieux du cinéma. Pardonnez-moi — Kubrick, Chaplin, Ozu, Fassbinder, Gilliam, Lelouch, Jarmusch, Hitchcock, Bunuel, Ford, Lynch, Fellini, Visconti, Altman, Wells, Loach, Branagh, Raimi, Wenders, Ferrara, Saura, Malick, Bergman, Woo, Caret, Van Sant, Fincher, les Coen, Shyamalan, Kazan, Jeunet, Almodovar, Carax, Allen, Tarantino, Scorcese, Cronenberg, Spielberg, Stone, Kelly, Miyazaki, Kieslowski, les Coppola, Nolan, Hawks, Zemeckis, Leone, Capra, Carpenter, Eastwood, Huston, Tarkovski, Kurosawa, Renoir, Kitano, Kubrick (oui, encore) et tout ceux que j’oublie et toi aussi, Ed Wood — car j’ai regardé The Expendables.

Je l’ai regardé en entier.

Comment résumer ce film ? Un combat d’enclumes — des enclumes qui auraient des bras et des jambes, mais qui bougeraient avec difficulté (parce que ce sont des enclumes, quand même) — armées de gros fusils mitrailleurs. Ou bien était-ce de petits bazooka ?

Edit dans la soirée : parce que ce n’est jamais que mon point de vue sur ce film — et parce que je garde un excellent souvenir de Stallone dans au moins un autre film (Rocky), ainsi que de tous les acteurs qui se sont égarés ici — voici un avis un peu plus enthousiaste et (beaucoup) plus argumenté sur The Expendables, chez nicolinux.